68 Septante est une association sans but lucratif créée en 2004 à Bruxelles.
Elle a pour but la promotion, la diffusion et l’aide à la création d’œuvres contemporaines et audiovisuelles.
Depuis 2005, la structure développe ses activités de programmation et d’organisation d’évènements dans différents types de lieux tant en Belgique qu’à l’étranger.
Ces propositions se concentrent sur la diffusion et la promotion d’œuvres du domaine des arts visuels : projections, installations, performances, concerts…
L'association apporte également un soutien aux artistes et aux acteurs du secteur associatif et culturel via des partenariats, du conseil ou des prestations spécifiques.
Depuis 2006, 68 Septante revendique une démarche de micro-éditeur DVD indépendant dont l’objectif est de favoriser la visibilité d’œuvres contemporaines à travers deux collections :
- La collection Electrons libres, conçue comme une plate-forme de diffusion pour des expériences artistiques hybrides et singulières, est plus particulièrement dédiée aux arts visuels.
- La collection VID (Very Important Documentary), axée sur le documentaire, a pour propos de promouvoir des films qui informent et sensibilisent les publics à des problématiques du champ socioculturel, artistique, pédagogique, historique, etc. Elle représente un contrepoint indispensable au traitement souvent superficiel de l’information dans les mass média.
Site :
www.6870.be
Adresse/contact :
68 SEPTANTE asbl
Place Saint Géry 25 (siège social)
1000 Bruxelles
Belgique
68 Septante c/o Le Fresne Randazzo (adresse postale)
rue du Canada 53
1190 Bruxelles
Belgique
32(0) 2 330 12 69
edition@6870.be
Où trouver nos DVD ?
> En France
PARIS
- Hors-circuits
- Le Pied de biche
- librairie Tekhnê
- Vidéosphère
PROVINCE
- Berrien : librairie L’Autre rive
- Besançon : Les Sandales d’Empédocle
- Blois : librairie Labbé
- Bordeaux : La Mauvaise réputation
- Brest : bouquiniste Daniel Roignant / La Petite librairie
- Dijon : Interface galerie appartement
- Guimaëc : CapLan & Co
- La Roche Derrien : La Cour des miracles
- Lille : L’Hybride
- Lyon : À plus d’un titre / La Gryffe / La Plume noire / librairie Michel Descours / Ouvrir l’oeil
- Marseille : Histoire de l’oeil / L’Odeur du temps / Le Lièvre de mars
- Montpellier : librairie Scrupule
- Morlaix : La Nuit bleu marine / Les Moyens du bord
- Nantes : Bientôt
- Rennes : Alphagraph
- Saint Maur des Fossés : L'Atelier Myriagone
- Toulouse : Oh les beaux jours / Ombres blanches / Terra nova
- Tréguier : Le Bel aujourd’hui
- Troguéry : Le Café éphémère
> A l'étranger
ALLEMAGNE
- Berlin : B_books / Image Movement / Leïla M / Neurotitan / Videodrom / Zadig
BELGIQUE
- Bruxelles : Aden / Bozarshop / Cook & Book / Galerie 100titres / L’Imaginaire / Les Yeux gourmands / librairie Brillat Savarin / Mikroboutique - cinéma Le Nova / Quartiers latins / Tropismes / Vidéo express
- Liège : La Carotte / Le Comptoir / librairie Entre-temps / Le Livre aux trésors
ESPAGNE
- Barcelone : Laie CaixaForum
ITALIE
- Bologne : Modo info shop
SUISSE
- Genève : La Librairie du cinéma
DVD HC#02
RIDING ALONG
Sébastien Demeffe
Belgique, 2009
documentaire, expérimental
Quelques bobines 16mm, un micro et un enregistreur, pour une errance d’un mois en auto-stop, direction l’Europe de l’Est.
Une conviction me pousse sur ces routes : imaginer un autre mariage entre l’audio et le visuel.
Je me lance dans une collecte intuitive d’images et de sons. L’objet enregistreur est au cœur des échanges comme baromètre émotionnel d’un parcours atypique.
De voiture en voiture, au fil des rencontres, des paysages, se dessine par jeu de reflets un auto-portrait.
Suppléments :
Dans un superbe boîtier en carton, à la tranche rouge vif, fabriqué artisanalement par Denis Verkeyn (Patate édition), on retrouve FAIRE UN FILM, un carnet de route de 92 pages, retraçant tout le processus créatif avant, pendant et après le tournage où artisanat et questions de sens nous interrogent à chaque étape.
DVD EL#07
LA CRISE DE LARD
Jérôme Gillier
Belgique, 2009
art contemporain
LA CRISE DE LARD est une série vidéographique pensée comme un petit théâtre satirique et pamphlétaire, dans laquelle Jérôme Giller commente sur un ton absurde et volontairement polémique, des œuvres d’art historiques, le fonctionnement et le milieu artistique.
Le bavardage et les faits médiatiques autour des œuvres d’art tendent à faire disparaître les œuvres au profit de leurs commentaires (qu’ils soient avisés ou non).
C’est comme si la critique d’art devenait aujourd’hui art elle-même.
L’art s’est transformé en industrie culturelle et le "regardeur" de Duchamp, en un simple consommateur qu’il faut persuader de la pertinence et de la qualité de ce qu’il voit, absolument. Le regardeur est dépossédé de tout sens critique, poussé qu’il est à "hyperconsommer" l’art d’aujourd’hui.
En endossant le rôle d’un spectateur polémique, l’artiste propose un essai de libération du regard et du sens critique.
- saison Une
Les objets sont perçus d’abord et avant tout en termes de valeurs instrumentales.
L’utilité de l’objet est le principe gouvernant dans la consommation.
Partant du présupposé que l’œuvre d’art est un objet comme les autres (c’est-à-dire de consommation), dans la première saison de LA CRISE DE LARD, Jérôme Giller décortique les mécanismes attachés à l’économie politique des œuvres d’art.
Il compare leur utilité/inutilité face aux objets de consommation courante.
Il pointe du doigt les valeurs symboliques attachées à leur possession.
Il analyse les mécanismes invisibles de leur économie libidinale.
- saison Deux
Jean-François Lyotard, dans un article intitulé "Le sublime et l’avant-garde", notait que "la sublimité n’est plus [aujourd’hui] dans l’art, mais dans la spéculation sur l’art". _ Autrement dit, Jean-François Lyotard faisait le constat d’une mutation du sublime, de son déplacement de la valeur transcendantale vers la valeur argent.
La seconde saison de LA CRISE DE LARD met en lumière les idéologies souterraines de la société capitaliste : religiosité et financiarisation de l’art et glorification de l’individu-artiste-égotique.
- saison Trois
L’artiste est un entrepreneur comme les autres.
Le modèle de l’économie capitaliste et les conditions du marché s’imposent à la création artistique.
En guise d’Ereignis (Heidegger), les artistes répètent indéfiniment les mêmes gestes éculés, déguisés sous la forme de l’innovation.
La troisième et dernière saison montrent la répétition des formes plastiques et les stratégies mises en œuvre par les artistes pour s’adapter à l’économie de marché et parfois la glorifier !
DVD VID#02
EUROLAND
Patrick Taliercio
Belgique, 2005-2009
documentaire de création
Mardi 1er janvier 2002, naissait la monnaie unique. L’évènement semblait inimaginable.
Robert Kalina, graphiste de l’Euro, a choisi de figurer sur les billets des ponts virtuels plutôt que des visages anonymes. Le film tente de comprendre ce qu’un tel choix nous raconte de la construction européenne.
Suppléments :
COMMENT L'ISLANDE A CHANGE DE GOUVERNEMENT (19' - 2009 - vo st fr et en documentaire)
Devenues championnes de l’acrobatie financière, les banques islandaises, frappées de plein fouet par la crise, ont plongé le pays dans la faillite en octobre 2008.
Fin janvier 2009, la rentrée parlementaire donne lieu à une semaine de manifestation continue, qui aura pour effet la démission du gouvernement en place. Débarrassée de ses politiciens libéraux, l’Islande fait peut-être aussi face aux limites d’un système de consommation.
DVD VID#03
UN PIED DANS LE JARDIN DE MIEL
Bernard Mulliez
Belgique, 2009
film d'artiste / documentaire
Dans le cadre du festival Europalia Europa (2007-2008), le CIVA (Centre International pour la Ville, l’Architecture et le paysage) en partenariat avec la firme Delhaize organisait dans le musée de l’école d’architecture de la Cambre une exposition intitulée Supermarché d’Europe 1957-2007
Entre volonté de ne pas voir et cynisme, les responsables culturels et politiques offrent un cas d’école de collaboration, sans la moindre velléité de résistance à la stratégie de colonisation de l’espace culturel public par une entreprise prosaïquement capitaliste.
Visitée par des hordes d’écoles, la marque du sponsor devient le sujet même de l’exposition. Dépassant le cadre publicitaire, elle se voit désormais sujet agissant de l’histoire et figure, pleinement légitimée par le champ académique.
L’histoire et l’approche architecturale du phénomène de la grande distribution deviennent le prétexte à une audacieuse mise en valeur du rôle de la grande distribution, expurgé et absout de ses influences économiques et sociales multiples.
Dans ce contexte, guides et professeurs parachèvent le dispositif propagandiste réalisé par l’exposition : marquer et fidéliser les clients-spectateurs dès leur plus jeune âge.
Suppléments :
LA JOIE DE SERVIE (11’30’’ - vo fr st en)
PRESCRIPTION
Christophe Bailleau
Belgique, 2002-2008
arts visuels et sonores
8 films en guérison, avec la collaboration de Julie Maréchal :
LA PAUSE, INCONSOLABLE, LA RENVERSE, SÉROTONES, PILULE, LA PERTE, COSMÉTIQUE, LE VA-ET-VIENT
Christophe Bailleau réalise des courts métrages intrigants et poétiques, enregistrant des moments perdus, avant ou après une action.
Ses vidéos sont comme des incursions non identifiées dans nos jours et nos nuits ; elles nous attirent dans leur souci du détail singulier, dans leurs noirceurs épaisses comme dans leurs lumières vibrantes. À l’occasion, on peut croiser des personnages muets, à la fois proches et distants, qui parcourent les habitats et les paysages d’une nature semi-sauvage, des présences à la fois fantomatiques et indicatrices d’ouvroirs d’autres images mentales.
Guidé principalement par l’exploration des sensations et des intuitions, les bandes-son à base de traitements électroniques, de piano, de guitare, de voix fugitives et de "fields recordings" déterminent sans jamais le clôturer le sens d’un étrange "récit".
Suppléments :
NOS RESTES, un film de Julie Maréchal
DERRIÈRE LA PORTE UN DIAPORAMA, réalisé avec la collaboration de Julie Maréchal
NELSON SULLIVAN VOLUME 1
Nelson Sullivan
USA, 1989
art vidéo/documentaire
Habillage sonore : Krikor & Sandrine Arnone
Avec les vidéos suivantes :
MONOLOGUE FOR TV-SHOW, A VISIT TO CHRISTINA, WALK TO EAST VILLAGE, A BUS TRIP TO WASHINGTON
Nelson Sullivan, mort à New York en 1989, a toujours filmé les personnes et les événements de son entourage. Il ne fait aucun travail de montage, tenant sa caméra à bout de bras, l’objectif grand angle pointé sur lui, il déambule parmi les événements tout en les commentant.
Il tourne régulièrement la caméra vers ce qu’il a choisi de nous montrer. Nelson a acquis une telle maîtrise, qu’il entraîne le spectateur dans une visite courtoise et détaillée de son quartier, de certains cafés, du Chelsea Hotel et d’autres lieux new-yorkais.
Nelson est gay, il nous présente ses amis, la plupart travestis, et leur parle par caméra interposée. Ceux-ci répondent à l’objectif, avec la grâce réservée au plus charmant regard, conscients du fait que l’identité de Nelson s’est déplacée dans sa caméra.
Avec une approche incroyablement précoce de la caméra “subjective“ (qui a été depuis lors couramment reprise notamment par la télévision) et porteuse d’un témoignage rare sur une gay way of life new-yorkaise extravertie depuis peu assagie : l’œuvre de Nelson Sullivan interpelle et séduit plus que jamais le spectateur, dans son fond comme dans sa forme.
Suppléments :
LA BANDE A NELSON, un documentaire de Stéphane Goël et Fernand Melgar.
DVD EL#03
REDHA
Vincent Matyn Wallecan
Belgique, 2006
arts visuels/documentaire
Au croisement de l'installation multimédia et du documentaire de création, un dispositif associant voix, calligraphie, vidéo et musique électronique…
Au travers de ce dispositif, une voix s’élève, celle de Redha, habitant du quartier au statut particulier.
REDHA est édité en DVD en coproduction avec Les Halles de Schaerbeek dans le cadre du projet Voisins.
DVD EL#04
LA PSYCHANALYSE DE GUY DEBORD PAR FREUD
David Legrand, Philippe Zunino
France, 2007
essai critique
LA PSYCHANALYSE DE GUY DEBORD PAR FREUD est une série vidéographique entièrement dédiée à la révolte et à l'anthropophagie humaine. Les figures historiques de Guy Debord et Sigmund Freud y sont réduites à des pulsions destructives et grotesques par David Legrand et Philippe Zunino
Leurs personnages métaphorisent le monde contemporain dans tous ses excès. La capitalisation du mensonge, l'esthétisation du sens, les manipulations médiatiques, la mauvaise foi collective, l'industrialisation du bonheur et de la souffrance y sont ouvertement révélées par la puissance de la distanciation et de l'humour comme expression de la simultanéité du vrai et du faux.
Si la société de consommation actuelle tend à produire essentiellement des dépendances, et comme telle à engendrer souffrances et désordres psychiques et sociaux, LA PSYCHANALYSE DE GUY DEBORD PAR FREUD examine et dissèque, la dimension intrinsèquement addictive du désir lui-même, autrement dit, la dévoration des uns par les autres. Ce film jubilatoire retrace en quatre séances de psychanalyse délirantes, l'image idéalisée d'un crime collectif parfait.
Une image symbolique, en quelque sorte unanimement partagée, puisque le mensonge est l'expression de la vérité dite sous une autre forme.
Suppléments :
La critique de Jean-Luc Godard
L'art donne du sens à l'argent
Dessins originaux de Emmanuel Tête
MEDIAS CONTRE TAMBOURS
Dominique Berger, Sarah Fautré
Belgique, 2004
documentaire
Venezuela 1998 : un nouveau président, Hugo Chavez, est élu par le peuple après 40 ans d'un régime d'alternance entre deux partis qui avaient pour habitude de distribuer l'argent du pétrole à une oligarchie de nantis. Pour mettre fin à cela, Hugo Chavez fait voter une constitution révolutionnaire et entame une série de réformes. Elles concernent la rente pétrolière, la répartition des terres agricoles, l'éducation, etc.
Ces réformes ne plaisent pas à tout le monde, notamment aux classes traditionnellement privilégiées. Celles-ci tentent de se débarrasser du président en utilisant les médias privés. Cette campagne de déstabilisation aboutit à un coup d'état le 11 avril 2002. Chavez est emprisonné mais sous la pression populaire, il revient au pouvoir deux jours plus tard.
MEDIAS CONTRE TAMBOURS retrace le voyage de deux Belges arrivés au Venezuela six mois après ces évènements. Ils se promènent dans un paysage audiovisuel extrêmement polarisé : des médias privés, toujours farouchement opposés à Chavez, un canal d'état, porte-parole du gouvernement et des médias communautaires, encouragés par la constitution.
Petite balade dans un pays où des gens développent un sens critique par rapport aux médias en inventant d'autres images.
DVD EL#05
VIDEOCHOREGRAPHIES & DOCUMENTS INÉDITS
Antonin De Bemels
Belgique, 1999-2006
vidéo d'art
L’ensemble des travaux vidéos et des documents inédits réunis dans le cadre de cette édition apportent un éclairage sur la recherche et les expérimentations poursuivies par Antonin De Bemels, durant près d’une décennie, à travers différentes formes plastiques : vidéos, installations, scénographies… Au centre du dispositif se trouve le corps, et particulièrement le corps dansant, ou plutôt sa recomposition à la fois spatiale et temporelle, passée au crible de différents procédés d’assemblage. Ainsi, surimpressions, collisions, répétitions, va et vient, arrêts, rémanences, montage syncopé et elliptique concourent à entraver, juguler et conditionner la fluidité naturelle du mouvement. De ce rapport de force surgissent des corps fragmentés, en lutte entre les intervalles et les jointures, des corps qui s’agitent, fusionnent et donnent vie à de nouvelles créatures hybrides : figures symboliques (le double, la marionnette, l’androgyne) ou évocations mythologiques (Narcisse, Lilith).
Suppléments :
Rushes super-8 originaux, Unrendered (installation vidéo), Les entrailles de Narcisse (piste multiangle ; extraits du spectacle), Lilith (captation de l’installation), Polyscopic Noise (performance multimédia).
DVD EL#01
PORTRAITS CIRCUS
Jean-Marc Munerelle
Belgique, 2006
arts visuels
PORTRAITS CIRCUS est une série d'individus filmés à leur insu dans les espaces publics européens. Dans ces portraits, les sujets révèlent leur intimité ; lorsque le corps se laisse à lire, lorsque les surfaces poreuses et diffusantes sortent du costume : le visage et les gestes.
La rue et les lieux publics sont des lieux d'attente (le bus), de déplacement (au travail) dans cet univers chaotique où des individus aux centres d'intérêts multiples se croisent et se joignent dans une cacophonie des comportements dont s'échappent les rictus, les gestes-signes de leur ivresse solitaire.
Ces gestes sont des séquences qui par leurs répétitions au montage deviennent des motifs. Le motif (ce qui est répété) est émotif, contaminant, hypnotique et l’amnésie qu’il produit inspire la manière de monter et de montrer ce travail.
DVD EL#02
LA CITE ADMINISTRATIVE DE L'ETAT
BlowUp, Vincent Matyn
Belgique, 2006
arts visuels/documentaire
En 2004, lors du PleinOpenAir festival co-organisé par les asbl Nova et City Min(e)d, différentes initiatives du monde associatif bruxellois émergent pour attirer l’attention et engager la réflexion sur l’avenir de la Cité administrative de l’Etat, site hors du commun revendu à des investisseurs privés.
La collaboration entre le collectif BlowUp et Vincent Matyn débute à cette occasion, autour d’une curiosité partagée concernant la cité administrative et son démantèlement.
Fabriquer des images et collecter des sons, aller à la rencontre des fonctionnaires, des usagers, des jardins, des couloirs, des ascenseurs, des perspectives et des couleurs…
Cette édition rassemble un diaporama conçu à partir de photographies et de témoignages de fonctionnaires.
Suppléments :
Ce DVD propose en outre, différents documents textuels et audiovisuels situant le projet dans son contexte, présentant la démarche artistique des auteurs ainsi qu'un texte écrit par l'ethnographe David Jamar.